ROTARY CLUB MARSEILLE SAINT JEAN : Annexe 2000/2001

Claude MERCIER Gouverneur du district

 

Une année de Gouverneur du District 1760 : « l’homme à l’entrée du troisième millénaire ».

 


Je dois toute ma gratitude à mon club Marseille Saint-Jean qui m’a permis de vivre une année d’une très grande richesse.

Après quelques années d’absence due aux multiples obligations que j’avais acceptées, j’ai retrouvé dans le club un tel accueil que j’ai répondu favorablement à Paul Frédénucci, alors Président, qui me demandait d’être candidat Gouverneur pour 2000-2001.

 

Charles–Henri de PROVENCHERES était président du club

 

Le club était impliqué dans le district :

Pierre SOËTE secrétaire

François RICHARD Trésorier

Jean-François JOLIVALT rédacteur du Journal 

Christian LAMY imprimait le bulletin

Jack ANCELIN fut Président de la conférence de District (Il a fait un très beau discours de clôture)

 

Tout le club s’est mobilisé pour l’organisation de cet événement que beaucoup me rappellent encore dont le point d’orgue a été

 

Les visites de clubs ont été très enrichissantes et m’ont prouvé qu’il existe un véritable potentiel d’actions dans les 63 clubs.

 

Pendant l’année 2000-2001 plus de 20 AIPM ont été menées à bonne fin, Les réunions de jeunes ont été très réussies. Mais ce ne sont pas les Clubs les plus importants qui ont fait le plus. J’ai été frappé par le fait que les actions, une fois décidées, étaient généralement menées à bout dans les délais les plus brefs et que les idées d’actions étaient souvent lumineuses.

 

Quand André-Pierre BLANC m’a confié l’organisation des célébrations du  centenaire, Connaissant le potentiel de réaction des clubs, petits et grands, j’ai immédiatement su que la grande majorité des clubs répondrait à mon appel pour la conservation du patrimoine. C’est ainsi que de très importants chantiers se sont  ouverts et ont abouti deux ans plus tard. Les clubs de Marseille ont particulièrement bien œuvré pour le Patrimoine.

 

Pour conclure,

Quand on accepte la charge de Gouverneur, on n’en mesure pas le poids.

Pendant le temps où on est Gouverneur, on n’a pas le temps de se demander quel est son poids.

Après avoir été Gouverneur, on est heureux d’avoir connu cette force et cet enthousiasme qui anime nos amis rotariens et on devient plus exigeant pour les autres mais aussi pour soi-même.

 

 

 

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